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Exposition "Fragments Surréalistes" : Jusqu'au 19 février 2024

Exposition "Fragments Surréalistes" : Jusqu'au 19 février 2024

Exposition "Fragments Surréalistes" : Jusqu'au 19 février 2024 Exposition "Fragments Surréalistes"
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Le 24/11/2023 • Mis à jour le 24/11/2023 | 09h35

Fragments surréalistes René Iché (1897-1954) et les poètes
Guillaume Apollinaire / Charles Baudelaire / Joë Bousquet / André Breton / André Chénier / Paul Eluard / Louise Hervieu / Max Jacob / Federico García Lorca

Musée des Beaux-Arts de Quimper // 23 novembre 2023 - 19 février 2024

René Iché (1897-1954), figure même de l’artiste engagé, est considéré comme l’un des plus remarquables représentants de la sculpture moderne française, puis, après-guerre, du mouvement de la Figuration européenne.

Il a aussi, sa vie durant, entretenu un dialogue fécond avec de nombreux acteurs de la scène littéraire. Proche d’Apollinaire et de Max Jacob, il a exploré très tôt les thèmes des surréalistes comme en témoignent son Inconnue de la Seine et ses masques d’André Breton et de Paul Eluard. Ses amitiés électives vont l’accompagner dans le Montparnasse de la première moitié du XXe siècle où il se mêlera à l’effervescence créatrice de l’avant-garde parisienne. Iché est aussi l’auteur d’oeuvres sensibles, inspirées par les vers flamboyants des poètes disparus comme Baudelaire, Chénier ou Nerval.

Cette exposition, conçue comme un dialogue du ciseau et de la plume, réunit, grâce à des prêts issus de la collection familiale, de collections privées et de collections publiques, une centaine d’oeuvres bien souvent inédites.

Fragments surréalistes René Iché et les poètes est une variante de l’exposition René Iché, l’art en lutte, coproduite avec La Piscine-Musée d’art et d’industrie André Diligent de Roubaix (24 juin - 3 septembre 2023) et le musée Toulouse-Lautrec à Albi (30 mars - 30 juin 2024).

René Iché, féru de poésie, s’étant lui-même rêvé poète dans sa jeunesse, a passé sa vie environné de poètes.

Deux rencontres furent pour lui fondamentales : Joë Bousquet, camarade de lycée, et qui, paralysé après avoir été blessé au combat en 1918, développera depuis sa chambre de Carcassonne un oeuvre associé au surréalisme ; Apollinaire, rencontré durant une permission de 1916 ou de 1917, et qui sera le mentor du jeune Iché, lui servant d’intermédiaire direct ou indirect auprès de tous les membres de l’avant-garde.

Iché deviendra par la suite l’ami des grands aînés des surréalistes, Blaise Cendrars, Pierre Reverdy et surtout Max Jacob. Puis il se liera avec les surréalistes en personne : André Breton, Paul Eluard, et Louis Aragon. Enfin, c’est sa propre fille, Laurence, elle-même poète, qui épousera en juin 1941 l’écrivain surréaliste Robert Rius.

Ces différentes amitiés se sont nourries du partage d’expériences fondatrices dans une époque marquée par les deux guerres mondiales : le front, les blessures de guerre, l’ébullition d’une création prête à tout oser, l’engagement politique et social, la quête de Dieu (dont les correspondances avec Max Jacob et Joë Bousquet gardent trace), la vie désargentée à Paris et même l’entrée en Résistance.

La relation privilégiée entretenue par Iché aux poètes l’a avant tout mené à créer des portraits, prenant la forme d’objets aux échelles et aux fonctions diverses : bustes, médailles, masques, tombeaux, monuments. Iché explore ainsi tous les supports de la mémoire intime et collective […].

Parcours de l’exposition

Autoportraits en vue subjective

Quand un artiste fait son autoportrait, généralement, c’est son visage qu’il observe. Devant un miroir, il se dessine, de face ou, plus souvent, de trois quarts. Il met l’accent sur son regard intense dans le désir de transcrire non seulement son apparence mais au-delà, l’intensité de son être. L’autoportrait donne à voir « la face embrasée par l’acte créateur […]. La tension, l’attention, la concentration, l’application acharnée sont le thème profond de tout autoportrait. » [Michel Tournier]

[…] René Iché choisit un point de vue tout autre, inhabituel, dans son Autoportrait en vue subjective. Il ne s’intéresse ni à l’analyse de sa personnalité, ni à la représentation de ses caractéristiques individuelles, mais à l’expérimentation physique du dessin. Il rend visible l’« immense différence entre voir une chose sans le crayon à la main, et la voir en la dessinant » [Paul Valéry], […] la « transformation d’un tracement visuel en tracement manuel » [Paul Valéry] propre au dessin.

Surréalistes, les amitiés électives (Bousquet, Eluard, Breton, Lorca)

Bousquet

La médaille consacrée à Bousquet forme un paradoxe. Elle n’était nullement destinée à être diffusée au grand public, comme le suggère le refus des codes solennels de l’inscription en lettres capitales dans sa légende en cursive.
Ce gage de bronze est certes commémoration, mais commémoration intime, des blessures d’Iché et de son camarade.
Il garde trace de l’angoisse extrême, partagée par les deux amis, face à la situation internationale.

Tandis que le sculpteur en fond, de ses propres mains, quelques exemplaires, le poète rédige un texte, Le Mal d’enfance (paru en 1939). L’objet de métal permet alors de sceller une véritable « alliance substantielle » entre la poésie et la sculpture.

Le frontispice du livre reproduit en effet cette médaille, mais sous la forme d’un montage réalisé par Émile Bernon, surimprimant l’avers et le revers. Apollinaire et les surréalistes sont restés attachés à la tradition du frontispice montrant un portrait de l’auteur. Bousquet et Iché quant à eux réinventent plus particulièrement l’usage de la médaille en frontispice, en vogue depuis le XVIe siècle.

Iché s’est peut-être souvenu que c’est par l’intermédiaire de la photographie que le plâtre de L’Inconnue de la Seine entre en dialogue avec la littérature. En effet, c’est un cliché du modèle en plâtre de la médaille qui pénètre dans le livre pour interagir avec sa prose poétique. La médaille présente simultanément ses deux faces, comme si elle tournait « convulsivement » sur elle-même. Iché a pu puiser son inspiration dans la publication récente de L’Amour fou (1937), texte où André Breton part en quête de la « beauté convulsive » grâce à des photographies apparaissant comme des images « explosantes-fixes ». L’oeil finit par déchiffrer le montage, un peu confus mais d’une étrangeté fascinante. Le corps écorché est dorénavant contenu dans le visage de Bousquet. Le sculpteur montre que la blessure constitue la substance de l’être, de la pensée et de l’oeuvre de Bousquet.

Eluard

Voir l'image en grandIché a produit dès les années 1920 un certain nombre d’oeuvres qui font écho aux thèmes développés alors par les surréalistes. Parmi ceux-ci figurent L’Inconnue de la Seine ou les masques d’André Breton et de Paul Eluard.

Miroir de l’âme, siège des passions, le visage – en tant qu’enveloppe charnelle – n’a cessé au cours des siècles d’être analysé, décrypté, saisi pour mieux révéler cette part d’intime et d’intériorité qu’il renferme. Dans le genre du portrait, le masque – tout à la fois fragment et synthèse de l’être dont il fige les traits – en est l’une des formes les plus sensibles.

Les empreintes des visages d’André Breton et de Paul Eluard, tous deux datés de 1929, s’inscrivent dans cette filiation.

C’est sans nul doute en écho à la tradition du masque mortuaire, en tant que support fétichiste de dévotion à la fin du XIXe siècle, qu’Iché fit le choix du procédé du moulage et de la forme du masque. Mais il joua d’emblée sur l’ambiguïté de la distorsion entre le geste – une empreinte prise « sur le vif » (stricto sensu d’après le modèle vivant) –, et l’objet qui en résulte : des visages aux yeux clos qui semblent figés dans le sommeil éternel. À moins qu’il ne s’agisse du rêve ?

Voir l'image en grandNaviguant dans un entre-deux, entre Thanatos et Hypnos, la figure d’Eluard s’anime en effet d’un léger sourire dans le « silence éclatant de ses rêves » (Capitale de la douleur, 1926). Ce sourire et ces yeux clos sont une citation de l’énigmatique masque de L’Inconnue de la Seine qui fascina tant le milieu littéraire dès la fin du XIXe siècle avant de devenir icône grâce au texte d’Ernst Benkard (1926) et au photomontage d’Albert Rudomine (1927). […]

Emblématiques des relations privilégiées qu’Iché entretint avec la sphère surréaliste, ces deux masques transcendent la réalité des chairs et les leçons de la fragmentation pour ouvrir sur l’invisible. Bien plus que « le miroir d’un moment » (Paul Eluard), ils sont les vecteurs d’une forme d’immanence qui transfigure leurs modèles et semble irradier.

Breton

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Lorca

Iché, qui parlait couramment l’espagnol, n’a pas connu personnellement Lorca, mais il l’a lu dans l’original. L’Hommage à Lorca prend la forme d’un bas-relief carré de terre cuite chamottée, fondu ensuite dans le bronze, montrant une tauromachie pouvant s’interpréter comme l’illustration de l’un des poèmes les plus célèbres de l’auteur andalou : « Chant funèbre pour Ignacio Sánchez Mejías » (1934). Or ce matador, qui périt de gangrène après avoir été encorné durant une corrida, était lui-même poète. Deux morts de poètes se superposent, et Iché fait du llanto (ou lamentation) pour le matador un llanto pour Lorca. Le sculpteur est l’un des premiers à accomplir cette contraction entre Sánchez Mejías et le poète andalou. Ce geste sera ensuite repris par de très nombreux artistes célébrant la mémoire de Lorca.

Constellation autour de Max Jacob (Max Jacob, Apollinaire, Louise Hervieu)

Les poètes assassinés et blessés occupent une place centrale dans l’abondante production de médailles d’Iché. Ce sont les visages de Max Jacob (1935), de Joë Bousquet (1938), de Lorca (1951). Ce sont aussi des projets inachevés, élaborés dans les années 1950, pour Baudelaire et Nerval, poètes maudits par excellence. Les trois poignards de la tauromachie apparaissant au revers de la médaille de Lorca et figurent aussi dans la colonne du revers de la médaille pour Nerval. Un motif revient avec plus d’insistance encore, celui de l’étoile – étoile du destin vouant le poète à sa vocation, étoile aussi de la malédiction et de la blessure, comme l’écrit Apollinaire dans la section « La Tête étoilée » des Calligrammes.

L’astre funeste grandit de médaille en médaille pour relier Max Jacob (où elle suggère en 1935 le goût du poète pour l’astrologie), Lorca et Bousquet. Sur le revers de la médaille de ce dernier, l’étoile finit par former un « soleil » flottant au-dessus du « cou coupé » d’un torse d’écorché. […] Ce gage de bronze est certes commémoration, mais commémoration intime, des blessures d’Iché et de son camarade.

Max Jacob

[…] Pour rendre un tribut à Max Jacob, Iché choisit dès 1942 un thème traversant l’oeuvre tout entier de son ami : la lutte de Jacob avec l’Ange, selon un épisode de la Genèse traité tant par la peinture que la littérature.

Ce choix évoque le désir douloureux de contempler Dieu face à face et constitue le moyen de narrer les combats intérieurs d’un artiste. Un poème de Max Jacob, publié en 1942, prend bien explicitement pour titre « La Lutte avec l’ange » et joue de l’homonymie entre le patriarche et le poète.

Le bronze d’Iché refuse cette fois d’entretenir un rapport d’illustration directe à ce texte. Il présente l’enchevêtrement de deux corps humains et dépouille l’Ange de ses « ailes d’épervier ».

Deux études à l’encre esquissent des morceaux de corps noueux. Les mots « Jacob » et « Ange », inscrits de la main d’Iché, aident à relier ces dessins au poème de Max Jacob. Le rapport direct avec le texte demeure pourtant ténu.

Dans le bronze dédié à son ami, Iché reprend aussi un thème qui parcourt sa propre sculpture, la rencontre entre les lutteurs, esquissée dès 1923 et se prolongeant jusqu’à la fin des années 1940 avec les monuments pour les résistants.

C’est là une manière de faire coïncider les violents combats intérieurs menés par Max Jacob, déchiré par ses élans vers Dieu, et la lutte qui fut celle de la France dans la guerre. Et de fait, la poésie de Max Jacob « mort pour la France » a constitué un cas de résistance spirituelle particulièrement intense.

Ce lutteur massif qui écrase son adversaire par sa puissance brutale, sans visage ni âme, sorte d’entité immatérielle et immortelle, c’est l’armée allemande, l’Ange de la mort. L’autre, humain, blessé, mais qui relève la tête, fait face à sa destinée et luttera jusqu’à l’aube, c’est l’armée des ombres, la Résistance, incarnée par Jacob.
Et c’est sous le titre de Jacob et l’Ange qu’Iché exposera la traduction agrandie en plâtre de ses Lutteurs à terre lors du Salon des indépendants de 1946. Symbole et hommage à la Résistance d’un grand résistant, que saluera notamment par ses mots le critique Maximilien Gauthier : « Voilà de l’art engagé. »

Apollinaire

Si la sculpture a montré d’innombrables « Maternités » ou « Femmes à l’enfant », elle n’a en revanche presque jamais traité la grossesse. En 1930, René Iché fait poser sa compagne Rosa Achard (dite Renée), enceinte de leur fille Hélène. Le sculpteur recommence à célébrer la vie.

Les arts premiers, la statuaire africaine notamment, accordent une place importante au thème de la fertilité et à la représentation de la grossesse. C’est d’ailleurs chez un sculpteur profondément influencé par le primitivisme, Henry Moore, que l’on trouve le très rare exemple d’une autre femme enceinte assise (Seated Woman, 1957).

Les sources d’Iché englobent également l’art égyptien : la célèbre sculpture du Scribe accroupi (c. 2600 avant J.-C.) a inspiré la posture et l’expression, attentive et sereine, de la Femme assise.
Nommée au sein de la famille Iché Hommage à Apollinaire (auteur, pendant la Première Guerre mondiale, d’un roman intitulé La Femme assise), l’oeuvre constituerait le seul témoignage sculpté de l’immense admiration éprouvée par Iché pour le poète, rencontré durant une permission en 1916 ou 1917.

Hervieu

En 1936, l’écrivaine et artiste Louise Hervieu inspire à Iché une déclinaison de portraits en médailles, plaquettes, masques et bustes aux traits émaciés, au dos desquels (pour certains d’entre eux) la danse d’une flamme métaphorise la ferveur de cette âme souffrante dans la lutte pour l’instauration d’un carnet de santé.

Hommage aux poètes disparus (Baudelaire, Chénier, Nerval)

Baudelaire

René Iché réalise la Contrefleur pendant son séjour en Provence, prenant comme modèle Laurence, la fille de Renée (Rosa Achard, sa compagne). La Contrefleur dont le titre est une référence aux Fleurs du mal, est une oeuvre dont la force réside dans cette ambiguïté déroutante, le nu d’une enfant dont le corps se transforme et dont l’assurance frappe le regardeur. Si la pose n’a rien d’ouvertement sensuelle, l’attitude de la modèle, dont les épaules inclinées vers l’avant accentuent la naissance des seins, dégage une forme d’étrange animalité.

Chénier

Dès l’entre-deux-guerres, René Iché explore et matérialise des supports mémoriels où dialoguent architecture et sculpture. En 1936, il imagine un monument à la mémoire d'André Chénier, poète victime de la Terreur, incarcéré à la prison de Saint-Lazare et guillotiné le 25 juillet 1794. Pour Iché, le destin tragique de Chénier préfigure celui des poètes du XXe siècle. La Jeune Tarentine, d’après un poème d’André Chénier, fait partie de la composition d'un monument qui ne verra jamais le jour.

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Nerval

Poète maudit de son vivant, Gérard de Nerval sera reconnu comme un précurseur par les symbolistes puis les surréalistes. Ainsi, dans le premier Manifeste du Surréalisme, Breton revendique son influence : « Nerval possède à merveille l'esprit dont nous nous réclamons », ajoutant même qu'à la place du mot surréalisme, lui et ses compagnons auraient pu tout aussi bien élire le mot supernaturalisme employé par Nerval à propos des Chimères.

Atour de l'exposition

→ Visites guidées

Les dimanches 26 novembre, 3 et 17 décembre, 7 et 21 janvier, 18 février à 15h et le 4 février à 14h30
Dimanche 7 janvier à 14h en langue bretonne
Gratuit le 1er dimanche du mois / 8 € ou 5 € les autres dates
E-réservation sur www.mbaq.fr / 25 places

→ Conférence René Iché, l’artiste en lutte

Marie-Isabelle Taddeï, co-autrice de D’Art D’Art, l’intégrale et autrice de La galerie d’inconnus célèbres propose une conférence sur René Iché « l’artiste engagé ». À 18 ans, René Iché rejoint le front durant la Première Guerre mondiale. En 1937, bouleversé par l’horreur de Guernica, il dénonce le bombardement dans une oeuvre d’une telle violence qu’il renonce à l’exposer. Dès 1939, il entre dans le réseau du Musée de l’homme, son atelier devient une plaque tournante de la Résistance.

Jeudi 30 novembre à 18h à la Médiathèque Alain-Gérard
Accès libre dans la limite des places disponibles

→ Lecture de textes surréalistes

par les membres du « Cercle des Poètes anonymes », atelier animé par Marc Moutoussamy, directeur du réseau des médiathèques de Quimper Bretagne Occidentale
Jeudi 21 décembre à 16h30 au musée
Accès libre dans la limite des places disponibles

→ Atelier d’écriture surréaliste

Composez des vers à la manière de ces poètes qu’Iché admire d’après des consignes très accessibles, Avec Catherine Marc de Ker-Hars
Mercredi 13 décembre à 15h30 ou samedi 27 janvier à 10h
8 € / 5€ - E-réservation sur www.mbaq.fr / 10 places

→ Élèves en scène

Les élèves du Conservatoire de Musique et Théâtre de Quimper vous proposent de courtes prestations musicales et des performances inspirées par René Iché et la littérature surréaliste.
Dimanche 11 février de 14h à 17h30 (moment musical)
Mercredi 14 février à 16h à 16h45 (moment théâtral)
Animation gratuite après acquittement du droit d’entrée

→ Performance dansée

Les danseurs de la Cie Lusk de Marie Coïc proposent dans une série d'impromptus une autre manière de découvrir l'exposition en mettant en relation les œuvres et les corps en mouvement.
Dimanche 4 février à 15h30
Gratuit - Sans réservation

Informations pratiques

→ Horaires d'ouverture

Tarifs

Visite libre en individuel

  • Plein tarif : 6,50 €
  • Tarif réduit : 4 € (enseignants, carte Cezam…)
  • Gratuit pour les moins de 26 ans, étudiants en art, demandeurs d'emploi sur présentation d'un justificatif de moins de 6 mois, personnes en situation de handicap sur présentation de la carte d'invalidité et pour tous, le 1er dimanche du mois de septembre à juin.

Visite guidée en individuel

  • Plein tarif : 8 €
  • Tarif réduit : 5 €

Groupes adultes sur réservation (à partir de 12 personnes)

  • Visite libre : 4 € (par personne)
  • Visite guidée : 6,50 € (par personne)

Accès au musée

  • Depuis la gare SNCF : une navette électrique circule dans le centre-ville et passe par la gare.
  • Gare routière (réseau de car Penn-Ar-Bed) et gare SNCF à 1 km
  • En voiture : parkings à proximité : La Tourbie, la Résistance, Théodore-Le-Hars, De Lattre de Tassigny. Stationnements réservés GIC/GIG aux personnes munies d’une carte de stationnement : place Saint-Corentin (2), rue Verdelet (2) et place Alexandre-Massé (1).

Stationnement vélo limitrophe sur la place Saint-Corentin
Musée des Beaux-Arts de Quimper
40, place Saint-Corentin,
29000 Quimper
+33 (0)2 98 95 45 20
musee@quimper.bzh
Suivez-nous sur mbaq.fr et les réseaux sociaux : @mbaqofficiel